Jocelyne, dite Jo, rêvait d’être styliste à Paris. Elle est mercière à
Arras. Elle aime les jolies silhouettes mais n’a pas tout à fait la
taille mannequin. Elle aime les livres et écrit un blog de dentellières.
Sa mère lui manque et toutes les six minutes son père, malade, oublie
sa vie. Elle attendait le prince charmant et c’est Jocelyn, dit Jo, qui
s’est présenté. Ils ont eu deux enfants, perdu un ange, et ce deuil a
déréglé les choses entre eux. Jo (le mari) est devenu cruel et Jo
(l’épouse) a courbé l’échine. Elle est restée. Son amour et sa patience
ont eu raison de la méchanceté. Jusqu’au jour où, grâce aux voisines,
les jolies jumelles de Coiff’Esthétique, 18.547.301€ lui tombent dessus. Ce jour-là, elle gagne beaucoup. Peut-être.
J'avais hâte de lire ce livre car j'en avais beaucoup entendu parler ... résultat bof ..; du déjà vu ... enfin c'est mon avis personnel ...
jeudi 8 novembre 2012
jeudi 1 novembre 2012
Les piliers de la terre
Dans l'Angleterre du XIIème siècle
ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent chacun à leur
manière pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou
simplement de quoi survivre. Les batailles sont féroces, les hasards
prodigieux, la nature cruelle. Les fresques se peignent à coups d'épée,
les destins se taillent à coups de hache et les cathédrales se bâtissent
à coups de miracles... et de saintes ruses. La haine règne, mais
l'amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin
quand un Dieu, à la vérité souvent trop distrait, consent à se laisser
toucher par la foi des hommes.
Ken Follet, le maître du suspense, nous livre une œuvre monumentale dont l'intrigue, aux rebonds incessants, s'appuie sur un extraordinaire travail d'historien.
Ken Follet, le maître du suspense, nous livre une œuvre monumentale dont l'intrigue, aux rebonds incessants, s'appuie sur un extraordinaire travail d'historien.
Honnêtement lorsqu'on m"a conseillé ce livre je me suis dit ... bof 1050 pages sur des cathédrales non merci.
J'ai bien fait de plonger le nez de dedans ! Ken Follet est un écrivain magnifique ! L'écriture est soignée et agréable et l'histoire est passionnante .... j'ai hâte de lire la suite !
dimanche 7 octobre 2012
La fenêtre panoramique
April et Frank Wheeler forment un jeune ménage américain comme il y en a
tant : ils s'efforcent de voir la vie à travers la fenêtre panoramique
du pavillon qu'ils ont fait construire dans la banlieue new-yorkaise.
Frank prend chaque jour le train pour aller travailler à New York dans
le service de publicité d'une grande entreprise de machines
électroniques mais, comme April, il se persuade qu'il est différent de
tous ces petits-bourgeois au milieu desquels ils sont obligés de vivre,
certains qu'un jour, leur vie changera... Pourtant les années passent
sans leur apporter les satisfactions d'orgueil qu'ils espéraient.
S'aiment-ils vraiment ? Jouent-ils à s'aimer ? Se haïssent-ils sans se
l'avouer ?... Quand leur échec social devient évident, le drame éclate.
Livre plein d'émotions, assez violent par moment. Je le conseille fortement.
L’adaptation en film ne m'a pas convaincue ...
Un héros
« Jusqu'où faut-il remonter pour trouver la source d'une tragédie
personnelle ? Les mensonges de la guerre à la génération des
grands-parents ?
Ceux de mon "héros" de père, parti à la conquête du sommet mythique de l'Annapurna en 1950 et laissant dans les cimes de cette ascension glorieuse une part de lui-même qui le rendra perpétuellement metteur en scène de sa légende ?
La liberté d'une mère séductrice et moderne, trop intelligente pour son temps, trop rebelle pour son milieu ? La fraternité fusionnelle et rivale de deux "enfants terribles" élevés dans une solitude commune et dans le culte de l'exploit ?
Toujours est-il que mon grand frère Laurent, promis à un destin magnifique, finira en vagabond des étoiles hirsute et fou; retrouvé par la police après des mois de fuite... jusqu'à sa chute prévisible.
C'est lui ou moi : ce fut lui...
Ce roman de notre fraternité blessée, je le lui dois. »
Ceux de mon "héros" de père, parti à la conquête du sommet mythique de l'Annapurna en 1950 et laissant dans les cimes de cette ascension glorieuse une part de lui-même qui le rendra perpétuellement metteur en scène de sa légende ?
La liberté d'une mère séductrice et moderne, trop intelligente pour son temps, trop rebelle pour son milieu ? La fraternité fusionnelle et rivale de deux "enfants terribles" élevés dans une solitude commune et dans le culte de l'exploit ?
Toujours est-il que mon grand frère Laurent, promis à un destin magnifique, finira en vagabond des étoiles hirsute et fou; retrouvé par la police après des mois de fuite... jusqu'à sa chute prévisible.
C'est lui ou moi : ce fut lui...
Ce roman de notre fraternité blessée, je le lui dois. »
C'est un livre très bien écrit même si on est parfois gênés du déballage familial ...
Pourquoi être heureux quand on peut être normal ?
Pourquoi être heureux quand on peut être normal ? Etrange
question, à laquelle Jeanette Winterson répond en menant une
existence en forme de combat. Dès l'enfance, il faut lutter :
contre une mère adoptive sévère, qui s'aime peu et ne sait pas
aimer. Contre les diktats religieux ou sociaux. Et pour trouver
sa voie. Ce livre est une autobiographie guidée par la fantaisie
et la férocité, mais c'est surtout l'histoire d'une quête, celle du
bonheur. "La vie est faite de couches, elle est fluide,
mouvante, fragmentaire", dit Jeanette Winterson. Pour cette
petite fille surdouée issue du prolétariat de Manchester,
l'écriture est d'abord ce qui sauve. En racontant son histoire,
Jeanette Winterson adresse un signe fraternel à toutes celles -
question, à laquelle Jeanette Winterson répond en menant une
existence en forme de combat. Dès l'enfance, il faut lutter :
contre une mère adoptive sévère, qui s'aime peu et ne sait pas
aimer. Contre les diktats religieux ou sociaux. Et pour trouver
sa voie. Ce livre est une autobiographie guidée par la fantaisie
et la férocité, mais c'est surtout l'histoire d'une quête, celle du
bonheur. "La vie est faite de couches, elle est fluide,
mouvante, fragmentaire", dit Jeanette Winterson. Pour cette
petite fille surdouée issue du prolétariat de Manchester,
l'écriture est d'abord ce qui sauve. En racontant son histoire,
Jeanette Winterson adresse un signe fraternel à toutes celles -
et à tous ceux - pour qui la liberté est à conquérir.
J'ai beaucoup aimé ce livre, très fort...
mardi 28 août 2012
Et puis Paulette ...
Ferdinand vit seul dans sa grande ferme vide. Et ça ne le rend pas franchement joyeux. Un jour, après un violent orage, il passe chez sa voisine avec ses petits-fils et découvre que son toit est sur le point de s’effondrer. À l’évidence, elle n’a nulle part où aller. Très naturellement, les Lulus (6 et 8 ans) lui suggèrent de l’inviter à la ferme. L’idée le fait sourire. Mais ce n’est pas si simple, certaines choses se font, d’autres pas…
Après une longue nuit de réflexion, il finit tout de même par aller la chercher.
De fil en aiguille, la ferme va se remplir, s’agiter, recommencer à fonctionner. Un ami d’enfance devenu veuf, deux très vieilles dames affolées, des étudiants un peu paumés, un amour naissant, des animaux. Et puis, Paulette…
Un très beau livre qui se lit vite ... trop vite ? L'isolement des personnes âgées, la solitude, l'entraide ... plein de sujets que traite Barbara Constantine à merveille ...
Le livre d'Hanna
J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre, romancé sur fond historique ...
lundi 6 août 2012
Les dix enfants que madame Ming n'a jamais eus
Madame Ming aime parler de ses dix enfants vivant dans divers lieux de l’immense Chine. Fabule-t-elle, au pays de l’enfant unique ? A-t-elle contourné la loi ? Aurait-elle sombré dans une folie douce ? Et si cette progéniture n’était pas imaginaire ? L’incroyable secret de Madame Ming rejoint celui de la Chine d’hier et d’aujourd’hui, éclairé par la sagesse immémoriale de Confucius. Dans la veine d’Oscar et la dame rose, de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran ou de L’Enfant de Noé, Les dix enfants que Madame Ming n’a jamais eus est le sixième récit du Cycle de l’Invisible.
J'ai adoré ce livre !!! Trop court !
dimanche 5 août 2012
Citrus county
Citrus County ne devrait pas exister. Les premiers émois de
l’adolescence devraient être difficiles, mais pas si difficiles. Les
garçons comme Toby devraient causer des problèmes, mais pas autant. La
lune devrait briller doucement et protéger les enfants endormis, à
l’abri dans leurs lits douillets. Les oncles, dans leur rocking-chair
devraient être gentils avec leurs neveux. Les professeurs devraient
donner l’exemple. L’air ne devrait pas sentir le marécage. Shelby
devrait devenir une vraie héroïne. Elle devrait sauver sa sœur
séquestrée sous terre, sauver Toby de sa propre folie…
Un style presque dérangeant ... n'importe qui autour de soi peut tuer, la vie continue comme si de rien n'était ...
Un roman assez noir sans espoir je trouve ...
Un style presque dérangeant ... n'importe qui autour de soi peut tuer, la vie continue comme si de rien n'était ...
Un roman assez noir sans espoir je trouve ...
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire
Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer
dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce
genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles
charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à
son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un
voyage décoiffant au cœur de l’histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous
des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un
artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d’un
siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, et avec
quelques coups de pouce du destin, Allan Karlsson, individu lambda,
apolitique et inculte, s’est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans
d’événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à
Staline en passant par Truman et Mao…
J'ai pris ce livre comme on l'annonçait c'est à dire un best seller mais je reste sur ma faim !
J'ai pris ce livre comme on l'annonçait c'est à dire un best seller mais je reste sur ma faim !
dimanche 1 juillet 2012
Crains le pire
Que peut-on imaginer de pire pour un père que de réaliser,
impuissant, que sa fille a disparu ? Tim Blake, père de famille divorcé,
mène une vie paisible. Sydney, sa fille de 17 ans, a trouvé un petit
boulot d’été dans un hôtel. Ce matin-là, elle s’en va et lui promet
d’être de retour pour dîner. Mais le soir, elle ne rentre pas et ne
laisse pas de message ; les autres soirs non plus. Tim mettra tout en
œuvre pour retrouver Sydney...
Un très bon bouquin même si j'ai préféré "cette nuit-là"...
Un très bon bouquin même si j'ai préféré "cette nuit-là"...
dimanche 27 mai 2012
De rouille et d'os
Ça commence dans le Nord.
Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa sœur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau.
A la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone.
Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose.
Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau.
Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions.
Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre.
Film en compétition à Cannes.
Tout simplement magnifique, les acteurs jouent formidablement bien !
Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa sœur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau.
A la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone.
Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose.
Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau.
Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions.
Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre.
Film en compétition à Cannes.
Tout simplement magnifique, les acteurs jouent formidablement bien !
7 ans après
Un divorce les avait séparés…… le danger va les réunir
Artiste bohème au tempérament de feu, Nikki fait irruption dans la vie sage et bien rangée de Sebastian. Tout les oppose, mais ils s’aiment passionnément. Bientôt, ils se marient et donnent naissance à des jumeaux : Camille et Jeremy.
Pourtant, le mariage tourne court : reproches, tromperies, mépris ; la haine remplace peu à peu l’amour. Au terme d’un divorce orageux, chacun obtient la garde d’un des enfants : Sebastian éduque sa fille avec une grande rigueur alors que Nikki pardonne facilement à son fils ses écarts de conduite. Les années passent. Chacun a refait sa vie, très loin de l’autre. Jusqu’au jour où Jeremy disparaît mystérieusement. Fugue ? Kidnapping ? Pour sauver ce qu’elle a de plus cher, Nikki n’a d’autre choix que de se tourner vers son ex-mari qu’elle n’a pas revu depuis sept ans. Contraints d’unir leurs forces, Nikki et Sebastian s’engagent alors dans une course-poursuite, retrouvant une intimité qu’ils croyaient perdue à jamais.
Des rues de Paris au coeur de la jungle amazonienne
Un thriller implacable brillamment construit
Un couple inoubliable pris dans un engrenage infernal
« Une réunion de famille en forme de thriller, aussi haletante qu’originale. Guillaume Musso surprend jusqu’à la toute dernière page. »Jérôme Vermelin, Metro
Pas mal, ça se lit bien !
Artiste bohème au tempérament de feu, Nikki fait irruption dans la vie sage et bien rangée de Sebastian. Tout les oppose, mais ils s’aiment passionnément. Bientôt, ils se marient et donnent naissance à des jumeaux : Camille et Jeremy.
Pourtant, le mariage tourne court : reproches, tromperies, mépris ; la haine remplace peu à peu l’amour. Au terme d’un divorce orageux, chacun obtient la garde d’un des enfants : Sebastian éduque sa fille avec une grande rigueur alors que Nikki pardonne facilement à son fils ses écarts de conduite. Les années passent. Chacun a refait sa vie, très loin de l’autre. Jusqu’au jour où Jeremy disparaît mystérieusement. Fugue ? Kidnapping ? Pour sauver ce qu’elle a de plus cher, Nikki n’a d’autre choix que de se tourner vers son ex-mari qu’elle n’a pas revu depuis sept ans. Contraints d’unir leurs forces, Nikki et Sebastian s’engagent alors dans une course-poursuite, retrouvant une intimité qu’ils croyaient perdue à jamais.
Des rues de Paris au coeur de la jungle amazonienne
Un thriller implacable brillamment construit
Un couple inoubliable pris dans un engrenage infernal
« Une réunion de famille en forme de thriller, aussi haletante qu’originale. Guillaume Musso surprend jusqu’à la toute dernière page. »Jérôme Vermelin, Metro
Pas mal, ça se lit bien !
Tout, tout de suite
Vous qui entrez ici, laissez toute espérance. Ce livre est une autopsie: celle de nos sociétés saisies par la barbarie. En 2006, après des mois de coups tordus et d’opérations avortées, une petite bande de banlieue enlève un jeune homme. La rançon exigée ne correspond en rien au milieu plutôt modeste dont ce dernier est issu. Mais le choix de ses agresseurs s’est porté sur lui parce que, en tant que Juif, il est supposé riche. Séquestré vingt quatre jours, soumis à des brutalités, il est finalement assassiné. Les auteurs de ce forfait sont chômeurs, livreurs de pizzas, lycéens, délinquants. Certains ont des enfants, d’autres sont encore mineurs. Mais la bande est soudée par cette obsession morbide: «Tout, tout de suite.» Morgan Sportès a reconstitué pièce par pièce leur acte de démence. Sans s’autoriser le moindre jugement, il s’attache à restituer leurs dialogues confondants d’inconscience, à retracer leur parcours de fast-foods en cybercafés, de la cave glaciale où ils retiennent leur otage aux cabines téléphoniques d’où ils vocifèrent leurs menaces, dans une guerre psychologique avec la famille de la victime au désespoir et des policiers que cette affaire, devenue hautement «politique», met sur les dents. Indigence intellectuelle et morale au milieu de l’indigence architecturale et culturelle: il n’y a pas de mot pour décrire l’effroyable vide que la société a laissé se creuser en son sein, et qui menace de l’aspirer tout entière. Pas de mot. Il fallait un roman. Il y a vingt ans, Morgan Sportès signait L’appât, roman dont l’adaptation au cinéma par Bertrand Tavernier reçut l’Ours d’or à Berlin.
UN LIVRE SUPER PRENANT !!!! A LIRE !
samedi 5 mai 2012
Le passager
Mathias Freire a une maladie étrange. Il fait des « fugues psychiques ».
Sous l’effet du stress, il tourne au coin d’une rue et perd la mémoire.
Quand il la retrouve, il est un autre. A son insu, il s’est forgé un
nouveau moi, un nouveau passé, un nouveau destin…
Quand il saisit sa situation, il est psychiatre à Bordeaux. Pour savoir qui il est vraiment, il n’a qu’une solution : remonter, l’une après l’autre, ses identités précédentes jusqu’à découvrir son moi d’origine. Clochard à Marseille, peintre fou à Nice, faussaire à Paris… Au fil de ses personnages, il va décrypter l’hallucinante vérité.
On plonge en apnée dans ce labyrinthe cauchemardesque où l’auteur continue inlassablement d’ausculter les origines du Mal. Tendue, très documentée, cette traque de l’identité navigue entre psychanalyse et manipulation scientifique à un rythme infernal.
Jamais Grangé n’a été moins sanglant, jamais il n’a été plus angoissant. Probablement son meilleur roman.
Très bon livre qui tient en haleine jusqu'à la fin... qui est pour moi un peu trop irréelle mais là c'est juste une opinion perso !
Quand il saisit sa situation, il est psychiatre à Bordeaux. Pour savoir qui il est vraiment, il n’a qu’une solution : remonter, l’une après l’autre, ses identités précédentes jusqu’à découvrir son moi d’origine. Clochard à Marseille, peintre fou à Nice, faussaire à Paris… Au fil de ses personnages, il va décrypter l’hallucinante vérité.
On plonge en apnée dans ce labyrinthe cauchemardesque où l’auteur continue inlassablement d’ausculter les origines du Mal. Tendue, très documentée, cette traque de l’identité navigue entre psychanalyse et manipulation scientifique à un rythme infernal.
Jamais Grangé n’a été moins sanglant, jamais il n’a été plus angoissant. Probablement son meilleur roman.
Très bon livre qui tient en haleine jusqu'à la fin... qui est pour moi un peu trop irréelle mais là c'est juste une opinion perso !
Extrêmement fort et incroyablement près
À neuf ans, Oskar Schell trouve extrêmement difficile de faire certaines choses, prendre une douche, ou l’ascenseur. Les ponts suspendus, les germes, les avions, les feus d’artifice, les Arabes dans le métro ou au restaurant, dans les cafés ou dans tout autre lieu public, mais aussi les échafaudages, les plaques d’égout, les sacs sans propriétaire, les chaussures, les gens à moustache, la fumée, les nœuds, les gratte-ciel et les turbans provoquent en lui une véritable panique. « Une grande partie du temps j’avais l’impression d’être au milieu d’un immense océan noir, ou au cœur de l’espace, mais pas de la façon qui aurait été passionnante. Simplement tout était incroyablement, loin de moi. C’était pire la nuit. »
Lorsqu’il trouve une clé dans le vase du dressing de son père un an après la mort de ce dernier dans les attentats du 11-Septembre, Oskar se met en tête de découvrir la serrure à laquelle elle correspond ainsi que la signification du mot « Black » écrit au dos d’une enveloppe. Va-t-il enfin résoudre le mystère de la disparition de son père ? Il décide de rencontrer toutes les personnes qui s’appellent Black à New York, soit deux cent seize foyers. Sa quête lui révélera l’histoire de sa famille…
Intelligence de la pensée et splendeur de la forme, telles sont les qualités maîtresses de ce livre. Œuvre comique, déchirante, terrible de vérité, Extrêmement fort et incroyablement près constitue un classique sans rival de la littérature américaine de « l’après-11-Septembre ».
Rien à dire de plus ... super livre !
mercredi 22 février 2012
Avant d'aller dormir
À la suite d un accident survenu une vingtaine d années plus tôt, Christine est aujourd hui affectée d un cas très rare d amnésie : chaque matin, elle se réveille en croyant être une jeune femme célibataire ayant la vie devant elle, avant de découvrir qu elle a en fait 47 ans et qu elle est mariée depuis vingt ans. Son dernier espoir réside dans son nouveau médecin, Ed Nash. Celui-ci lui a conseillé de tenir un journal intime afin qu elle puisse se souvenir de ce qui lui arrive au quotidien et ainsi reconstituer peu à peu son existence. Quand elle commence à constater de curieuses incohérences entre son journal, ce que lui dit son entourage et ses rares souvenirs, Christine est loin de se douter dans quel engrenage elle va basculer. Très vite elle va devoir remettre en question ses rares certitudes afin de faire la vérité sur son passé... et sur son présent.
Un livre que j'ai dévoré, que je recommande ... et d'ailleurs il est déjà dans les mains d'une amie !
Un livre que j'ai dévoré, que je recommande ... et d'ailleurs il est déjà dans les mains d'une amie !
dimanche 12 février 2012
Coeur cousu
Livre merveilleux, plutôt conte que roman.
De genre fantastique ce livre est trés éloigné de mes habitudes de lecture ... et pourtant je l'ai dévoré !
Magnifiquement bien écrit ce livre emportera tout le monde.
Allez plutôt lire la très bonne critique et le résumé en cliquant sur le lien.
http://www.buzz-litteraire.com/post/2007/06/19/901-le-coeur-cousu-de-carole-martinez
samedi 4 février 2012
Les heures souterraines
Voici un très bon livre qui se lit à une vitesse folle. Il est question du harcèlement au travail mais aussi de notre société individualiste.
Chaque jour, Mathilde prend la ligne 9, puis la ligne 1, puis le RER D jusqu'au Vert-de-Maisons. Chaque jour, elle effectue les mêmes gestes, emprunte les mêmes couloirs de correspondance, monte dans les mêmes trains. Chaque jour, elle pointe, à la même heure, dans une entreprise où on ne l'attend plus. Car depuis quelques mois, sans que rien n'ait été dit, sans raison objective, Mathilde n'a plus rien à faire. Alors, elle laisse couler les heures. Ces heures dont elle ne parle pas, qu'elle cache à ses amis, à sa famille, ces heures dont elle a honte.
Thibault travaille pour les Urgences Médicales de Paris. Chaque jour, il monte dans sa voiture, se rend aux adresses que le standard lui indique. Dans cette ville qui ne lui épargne rien, il est coincé dans un embouteillage, attend derrière un camion, cherche une place. Ici ou là, chaque jour, des gens l'attendent qui parfois ne verront que lui. Thibault connaît mieux que quiconque les petites maladies et les grands désastres, la vitesse de la ville et l'immense solitude qu'elle abrite.
Mathilde et Thibault ne se connaissent pas. Ils ne sont que deux silhouettes parmi des millions. Deux silhouettes qui pourraient se rencontrer, se percuter, ou seulement se croiser. Un jour de mai. Autour d'eux, la ville se presse, se tend, jamais ne s'arrête. Autour d'eux s'agite un monde privé de douceur.
Les heures souterraines est un roman sur la violence silencieuse. Au coeur d'une ville sans cesse en mouvement, multipliée, où l'on risque de se perdre sans aucun bruit.
Delphine de Vigan est l'auteur de No et moi, révélation du magazine LIRE 2007, prix des libraires 2008 et prix solidarité 2009. Elle vit à Paris, connaît bien la ligne D du RER et la couleur des lignes de métro. Les heures souterraines est son cinquième roman.
Chaque jour, Mathilde prend la ligne 9, puis la ligne 1, puis le RER D jusqu'au Vert-de-Maisons. Chaque jour, elle effectue les mêmes gestes, emprunte les mêmes couloirs de correspondance, monte dans les mêmes trains. Chaque jour, elle pointe, à la même heure, dans une entreprise où on ne l'attend plus. Car depuis quelques mois, sans que rien n'ait été dit, sans raison objective, Mathilde n'a plus rien à faire. Alors, elle laisse couler les heures. Ces heures dont elle ne parle pas, qu'elle cache à ses amis, à sa famille, ces heures dont elle a honte.
Thibault travaille pour les Urgences Médicales de Paris. Chaque jour, il monte dans sa voiture, se rend aux adresses que le standard lui indique. Dans cette ville qui ne lui épargne rien, il est coincé dans un embouteillage, attend derrière un camion, cherche une place. Ici ou là, chaque jour, des gens l'attendent qui parfois ne verront que lui. Thibault connaît mieux que quiconque les petites maladies et les grands désastres, la vitesse de la ville et l'immense solitude qu'elle abrite.
Mathilde et Thibault ne se connaissent pas. Ils ne sont que deux silhouettes parmi des millions. Deux silhouettes qui pourraient se rencontrer, se percuter, ou seulement se croiser. Un jour de mai. Autour d'eux, la ville se presse, se tend, jamais ne s'arrête. Autour d'eux s'agite un monde privé de douceur.
Les heures souterraines est un roman sur la violence silencieuse. Au coeur d'une ville sans cesse en mouvement, multipliée, où l'on risque de se perdre sans aucun bruit.
Delphine de Vigan est l'auteur de No et moi, révélation du magazine LIRE 2007, prix des libraires 2008 et prix solidarité 2009. Elle vit à Paris, connaît bien la ligne D du RER et la couleur des lignes de métro. Les heures souterraines est son cinquième roman.
dimanche 22 janvier 2012
Tarte coco
Faire une pâte sablée avec 200 gr de farine, 125 gr de beurre mou, 75 gr de sucre, 1 oeuf.
Étaler la pâte dans un plat à tarte puis recouvrir de confiture (1 pot avec une préférence pour une confiture aux fruits rouges).
Mélanger 5 oeufs + 75 grammes de beurre fondu + 125 grammes de sucre + 1 sachet de noix de coco râpée.
Verser la préparation sur la confiture.
Cuire 30 minutes à 180°C.
Se régaler
lundi 16 janvier 2012
mercredi 4 janvier 2012
Du domaine des murmures
En 1187, le jour de son mariage, devant la noce scandalisée, la jeune Esclarmonde refuse de dire
« oui » : elle veut faire respecter son voeu de s’offrir à Dieu, contre la décision de son père, le
châtelain régnant sur le domaine des Murmures. La jeune femme est emmurée dans une cellule
attenante à la chapelle du château, avec pour seule ouverture sur le monde une fenestrelle pourvue de barreaux. Mais elle ne se doute pas de ce qui est entré avec elle dans sa tombe. Loin de gagner la solitude à laquelle elle aspirait, Esclarmonde se retrouve au carrefour des vivants et des morts. Depuis son réduit, elle soufflera sa volonté sur le fief de son père et son souffle parcourra le monde jusqu'en Terre sainte. Carole Martinez donne ici libre cours à la puissance poétique de son imagination et nous fait vivre une expérience à la fois mystique et charnelle, à la lisière du songe. Elle nous emporte dans son univers si singulier, rêveur et cruel, plein d’une sensualité prenante.
Livre magnifique, j'ai beaucoup aimé.
« oui » : elle veut faire respecter son voeu de s’offrir à Dieu, contre la décision de son père, le
châtelain régnant sur le domaine des Murmures. La jeune femme est emmurée dans une cellule
attenante à la chapelle du château, avec pour seule ouverture sur le monde une fenestrelle pourvue de barreaux. Mais elle ne se doute pas de ce qui est entré avec elle dans sa tombe. Loin de gagner la solitude à laquelle elle aspirait, Esclarmonde se retrouve au carrefour des vivants et des morts. Depuis son réduit, elle soufflera sa volonté sur le fief de son père et son souffle parcourra le monde jusqu'en Terre sainte. Carole Martinez donne ici libre cours à la puissance poétique de son imagination et nous fait vivre une expérience à la fois mystique et charnelle, à la lisière du songe. Elle nous emporte dans son univers si singulier, rêveur et cruel, plein d’une sensualité prenante.
Livre magnifique, j'ai beaucoup aimé.
Mr Peanut
David Pepin a toujours aimé sa femme, Alice. Impossible pour lui de concevoir sa vie sans elle. Pourtant, depuis quelque temps, il rêve de sa mort... Mais peut-on être coupable des rêves que l'on fait ? Le problème, c'est qu'Alice meurt. Réellement. Pour les deux inspecteurs en charge de l'enquête, David apparaît aussi suspect qu'il est désemparé. Mesurant sa culpabilité à l'aune de leur propre histoire conjugale, il leur devient clair que son rôle ne se limite pas à celui du mari inconsolable... Adam Ross livre un premier roman, hypnotique et intense, en disséquant à travers la genèse de ces trois mariages, la réalité de la vie à deux.
On passe un bon moment mais sans plus ...
On passe un bon moment mais sans plus ...
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